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résumé

en 2004, le rédacteur en chef du magazine Wired, Chris Anderson, a émis l’hypothèse Qu’Internet rassemblait des marchés dispersés pour les produits culturels qui n’avaient pas été lucratifs jusqu’à présent en raison de leur faible attrait sur le marché. Avec les ventes de ces produits agrégées, il a soutenu, ils devenaient maintenant rentables. Cette hypothèse, appelée « longue queue », s’est avérée convaincante., Il a ouvert de nouveaux marchés potentiels pour les biens culturels, promouvant l’idée que les ventes en ligne pourraient accroître la diversité culturelle. Cet article examine la recherche initiale sur l’hypothèse de la longue queue, en s’appuyant sur les résultats d’ouvrages publiés et non publiés. Il conclut que, malgré l’appel de cet argument, les données ne corroborent que partiellement L’hypothèse D’Anderson., En 2004, Chris Anderson, rédacteur en chef de la revue Wired, a émis l’hypothèse selon laquelle internet était en train de réunir des marchés dispersés pour des produits culturels qui jusqu’alors n’étaient pas lucratifs en raison de leur faible audience. Leurs ventes regroupées, ces produits devenaient rentables. Appelée  » longue traîne  » (long tail), cette hypothèse s’est avérée convaincante. Elle a ouvert de nouveaux marchés prometteurs pour les biens culturels, faisant valoir l’idée que les ventes en ligne pouvaient favoriser la diversité culturelle., L’article examine la recherche initiale sur l’hypothèse de la longue traîne en s’appuyant sur des travaux publiés et non publiés. Les auteurs concluent que, malgré l’attrait de l’argumentation, les données n’appuient que partiellement l’hypothèse d’Anderson. En 2004, el redactor en jefe de la revista Wired Magazine, Chris Anderson, supuso que la Internet estaba reuniendo mercados productos culturales dispersos que no habían sido lucrativos a causa de su limitada penetración al mercado. Argumentaba, sin embargo, que al estar reunidos empezaban a ser rentables., Cette hypothèse, connu comme le” réveiller « , semble avoir été convaincant. Il a ouvert de nouvelles perspectives de marché pour les biens culturels, en promouvant l’idée que la vente en ligne pourrait accroître la diversité culturelle. Cet article examine les recherches initiales sur l’hypothèse de la stèle longue, basées sur des résultats publiés autant que sur ceux qui ne l’ont pas été. Il conclut que, malgré l’attrait de cet argument, les données recueillies ne corroborent que partiellement L’hypothèse D’Anderson.,de la culture et des arts et de l’administration;• identifie et encourage l’élaboration de pratiques exemplaires en matière de gestion de la culture et des arts, et favorise leur utilisation par la publication d’études de cas et d’analyses; • aborde de façon rigoureuse et détaillée les questions d’actualité importantes pour les organismes culturels et artistiques; • présente des études, des mesures et d’autres recherches empiriques dans le domaine de la gestion des arts et de la culture;• fournit un forum pour contester et débattre des théories et des modèles cohérents, ainsi que leur application dans la pratique culturelle et artistique.,

informations sur L’éditeur

la Chaire en gestion des Arts, créée en 1991 grâce à une subvention du Ministère des Communications du Canada, sera dorénavant connue sous le nom de chaire Carmelle et Rémi Marcoux En Gestion des Arts, en reconnaissance d’un don conjoint de 1 million de dollars de Carmelle et Rémi Marcoux et du Groupe Transcontinental. Le professeur François Colbert est fondateur et titulaire de la Chaire.,La Chaire contribue à l’avancement des connaissances en gestion des arts en menant des recherches sur un large éventail de sujets liés à ce domaine d’études et en présentant les résultats de ces études dans ses publications. De cette façon, la Chaire contribue à attirer l’attention sur les défis que pose la gestion des arts et des industries culturelles. Conformément à son objectif permanent de répondre aux besoins en connaissances des gestionnaires culturels, la chaire a décidé, en 1998, de lancer L’International Journal of Arts Management (IJAM).

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