Origine
Cette phrase a été reprise de la célèbre paragraphe d’ouverture, de Charles Dickens roman, Un Conte de Deux Villes. Le roman s’ouvre avec, « C’était la meilleure des époques, c’était la pire des époques, c’était l’âge de la sagesse, c’était l’âge de la folie, c’était l’époque de la croyance, c’est l’époque d’incrédulité, …” (Par. 1, Ligne 1)., Ce passage suggère une époque d’opposés radicaux qui se déroulent de l’autre côté de la Manche, respectivement en France et au Royaume-Uni. Il raconte une histoire de contrastes et de comparaisons entre Londres et Paris pendant la Révolution française.
Signification
Cette phrase souligne un conflit majeur entre la famille et l’amour, la haine et l’oppression, le bien et le mal, La Lumière et les ténèbres, et la sagesse et la folie. Dickens commence cette histoire avec une vision que la prospérité humaine ne peut pas être jumelée avec le désespoir humain., En fait, il parle d’une guerre de classe entre les riches et les pauvres. Il raconte aussi une époque de désespoir et de souffrance d’une part, et de joie et d’espoir d’autre part.
utilisation
c’est une expression appropriée à utiliser dans le contexte du monde d’aujourd’hui où, d’une part, les riches jouissent d’une vie luxueuse; tandis que d’autre part, les pauvres luttent sous le joug du déclin économique. Cependant, son meilleur contexte n’est que dans les écrits littéraires où un pays ou une situation est comparé à un autre, afin de prédire une révolution ou une transformation soudaine., C’est pourquoi, dans le contexte de la transformation des temps, la richesse, l’inégalité et l’accumulation des richesses sont devenues des thèmes modernes sur lesquels l’auteur se dilate en ouverture de son roman. Un dirigeant politique pourrait l’utiliser dans un discours, ou un professeur d’école à la retraite pourrait l’utiliser pour rappeler à ses élèves le bon vieux temps.,Cette phrase apparaît dans le paragraphe d’ouverture, de Charles Dickens: « roman Un Conte de Deux Villes, qui s’ouvre avec:
« C’était le meilleur des temps, c’était le pire de tous les temps, c’était l’âge de la sagesse, c’était l’âge de la folie, c’était l’époque de la croyance, c’est l’époque de l’incrédulité, c’est la saison de la Lumière, c’est la saison des Ténèbres, c’était au printemps de l’espoir, c’était l’hiver du désespoir …, nous n’avions rien devant nous, nous étions tous d’aller directement au Ciel, nous allions tous direct l’autre sens …”
(Un Conte de Deux Villes, Par.,1, Line, 1)
Il raconte une période de chaos, de conflits et de désespoir, ainsi que de bonheur. Il nous parle en fait du temps des contraires extrêmes sans intermédiaires.
analyse littéraire
Cette ligne décrit une période de controverses et de contradictions. Dickens fait référence à deux villes, Paris et Londres, dans l’environnement tumultueux de la Révolution française. Cette proclamation de révolution pour les civils opprimés s’est avérée être un « printemps d’espoir »., »Cependant, pour un ancien régime et des systèmes politiques sortants, cette révolution était comme un « hiver de désespoir”, qui a conduit à la mort et à la destruction. Cette phrase a une grande valeur littéraire en comparaison et en contraste de deux situations et environnements.
dispositifs littéraires
- anaphore: la répétition de la phrase apparaissant au début des clauses consécutives crée un rythme régulier.
- Paradoxe: l’Auteur répliqué paradoxe, un conflit d’idées dans cette phrase